Ma sicuramente fallimentare, probabilmente anche per questioni di budget...
Da dire che, scavando, scavando, si scopre che di versioni e modifiche ne ha avute eccome (io pensavo a solo due versioni...)
E prendo pari pari un trafiletto da un sito molto interessante che ho scovato, sulle primissime anticipazioni di un giornalista che era niente pò pò di meno che il padre di Jackie Ickx...
Au demeurant, celles-ci se confirment au début de l'année 1954, lorsque l'ingénieur italien Giaocchino Colombo signe un contrat en bonne et due forme avec Bugatti. Le signor Colombo n'est pas le premier venu ! Il est le père des Alfa Romeo 158/159 « Alfetta », des premiers moteurs V12 Ferrari, et vient de prendre une part active à l'élaboration de la Maserati 250 F. La gestation de la Bugatti sera la première mission du bureau d'études indépendant qu'il vient de créer à Milan, sachant qu'il ne sera présent à Molsheim qu'une ou deux semaines par mois. Reçu en Alsace pendant plusieurs jours, le journaliste belge Jacques Ickx, père de Jacky, ne révèle que les grandes lignes du projet : « ce sera la voiture la plus exclusive et la plus révolutionnaire qui soit peut-être jamais apparue dans l'univers des Grands Prix », écrit-il. « Cette nouvelle Bugatti, qui bouscule toutes les notions admises, est un événement technique, car il reporte d'un seul coup la technique française au niveau le plus élevé ».


